The Absence Of Misery, le premier album d’Oberbaum

The Absence Of Misery, le premier album d’Oberbaum

« The absence of misery is an underrated state of being » sont les mots du refrain du titre éponyme du premier album d’Oberbaum. Un message d’acceptation qui nous invite à chérir les moments de flottements, ses moments où l’on ne pas va pas forcément bien mais pas mal non plus.

Première envolée solo de la pianiste-chanteuse Lucie Rezsöhazy (Fabiola, Condore, Les Juliens…), OBERBAUM n’est pas qu’un pont mythique de Berlin, où elle a vécu toute sa vingtaine. C’est aussi une pop indé joyeusement mélancolique, dans laquelle ses influences sont élégamment distillées : Andy Shauf, Julia Jacklin et surtout des artistes nineties comme Sparklehorse et Cardigans. Formée au classique et au jazz et biberonnée au rock-pop des années nonante, Lucie sort de sa chambre d’adulescente avec ce premier album de bedroom pop lumineux.